Il est sans doute bien illusoire de penser le confort comme universel, absolument bénéfique ou vital. A se frotter aux lieux et caractères on finit toujours par, parfois se blesser, surtout se sentir vivre.
Ici, les difficultés ne sont pas absentes. Ici, j’ai vu des situations d’espacement. « S’asseoir comme il ne faut pas » écrivait le lumineux Bernard Rudofsky, se plier à la technique, visser, contre-coller, s’abriter, hisser la voile, voilà de quoi faire l’expérience, l’architecture.
L’idée de confort, une anthologie du zazen au tourisme spatial, édition B42/Centre National des Arts Plastiques, 2016, ISBN 9782917855737.